Toutes les religions sont bonnes ! Clameront les humanistes. La mienne seule est la meilleure s’exprimera l’exclusif qui a les coeur et l’esprit souillé de violence verbales ou physique. Au milieu de la clameur, le soufiste prendra la parole, et l’on pourrait l’entendre dire : « Mes frères, ne doit-on pas considérer Dieu, comme étant un seul, et la révélation de Dieu, comme un héritage partiel pour chaque nation ? Rassemblons l’héritage, et nous aurons la religion unique ! »

Au moins dix grandes religions, des milliers de variantes pour que chacun y trouve son compte. A tel point que des athées discutent au sujet de la religion la comparant à un panier de salade, que l’on utilise selon les besoins du moment et où l’on y met ce que l’on veut. Mais regardons de plus près. Si l’hindouisme ou le bouddhisme permet de se rapprocher de Dieu ou de l’état suprême, pourquoi donc le Christ serait-il venu ? Puisque des millions de chrétiens se satisfont de leur religion et s’épanouissent en elles (ce dont on peut se réjouir) pourquoi faire référence à cette neuvième clé qui est: reconnaître la congrégation chrétienne ? La raison est la suivante.

Savez vous que de nombreux arbres qui devraient devenir majestueux peuvent ne pas dépasser la taille du Bonsaï ? Il suffit pour cela de les placer dans un petit pot avec peu de terre, les tailler fortement, en bref, les conditionner dans un milieu restreint. Mais vous, cher lecteur, quelle stature souhaitez vous détenir? Celle d’un Bonsaï spirituel ou celle d’un arbre florissant, épanoui, majestueux dans le jardin de délices de Dieu ? (Ps 1:3; Jer 17:8; Is 61:3). Il y en a qui disent que l’on peu s’épanouir là où l’on est, qu’il n’est pas nécessaire de changer de congrégation ou d’Église ! Il est vrai qu’un Bonsaï peut s’épanouir, il n’en reste pas moins un Bonsaï ! Alors raisonnons. Si authentique religion il y a, ne doit-elle pas nous permettre de nous rapprocher de notre créateur? De le connaître mieux ? Ne doit-elle pas élever la condition humaine ? Ne doit-elle pas enseigner et pratiquer des œuvres bonnes ? En plus de l’épanouissement personnel, ne doit-elle pas permettre à des individus de toutes races, de toutes cultures, de toutes conditions sociales, de ressentir une fraternité réelle ? Sinon, cette religion ne serait-elle pas la fausse monnaie du bonheur ?

 

Quel intérêt y a-t-il à servir Dieu au sein d’une religion ?

Tout d’abord, parce que la foi est comme de la braise, dispersée, elle s’éteint. Quand bien même vous ajoutez des matériaux combustibles, le feu peu mourir. A moins de mettre du pétrole ou d’autres produits de ce genre, et encore en petite quantité, elle ne donnera plus de chaleur (car on peut même l’éteindre avec des matériaux inflammables). Rassemblez la braise, elle conservera sa chaleur plus longtemps, et si de temps en temps vous ajoutez des matériaux spirituels, le feu du zèle reprendra. La volonté du diable est de disperser, et l’on peut dire qu’il y arrive très bien. Celle de Dieu est de rassembler. Le Qohéleth ne vous rappelle t-il rien ? C’est le nom d’un livre biblique appelé aussi l’Ecclésiaste, ce qui signifie rassembleur.

Ensuite, pour affronter le feu de l’épreuve et pouvoir endurer, il est indispensable d’absorber de la nourriture spirituelle de qualité. Ce ne sont pas des enseignements tels que le purgatoire, le feu de l’enfer, etc. qui vous y aideront. Non, il vous faut la vraie connaissance (hadda’ath), c’est à dire la connaissance intime de la Personne de Dieu (2 Cor 4:6; Rev 22:17).

Troisièmement. Puisque nous avons fait référence à l’une des clés pour comprendre la prophétie, n’est-il pas vrai que certaines déclarations de Dieu se sont accomplies sur la congrégation d’Israël, puis sur la congrégation primitive ? Pourquoi en serait-il différemment aujourd’hui ? Jésus-Christ n’a-t-il pas dit qu’il y aurait un intendant (spirituel) fidèle sur la Terre, pour enseigner, informer, nourrir spirituellement (Mat 24 :45)? Mais où peut-il bien être ? Est-ce la congrégation catholique, protestante, évangélique, adventiste, pentecôtiste, etc. ?

Il faut reconnaître qu’il faut être bien courageux pour entamer une recherche qui influencera notre façon de vivre. Peut-être même faut-il être un peu aventurier, à moins d’être animé d’un désir vif et sincère de plaire à Dieu.

Si vous aviez vécu au dixième siècle avant notre ère, vous auriez peut-être entendu cette prière du roi Salomon : «si l’étranger vient bel et bien prier vers cette maison, toi, puisses-tu écouter des cieux, le lieu fixe de ton habitation, et tu devras agir selon tout ce pour quoi l'étranger appellera vers toi; afin que tous les peuples de la terre connaissent ton nom, pour te craindre comme fait ton peuple Israël, et pour qu’ils sachent que ton nom a été invoqué sur cette maison que j'ai bâtie» (1R8:42,43). Le Dieu du ciel avait mis à part un peuple pour que la connaissance de Dieu puisse être répandue, mais pas selon les traditions si chères aux nations païennes. Un peu plus tard, saint Paul écrira dans son épître aux romains : « et comment entendront-ils sans quelqu’un qui prêche ? » (Rom 10 :14).

Il est un fait incontestable : il n’était pas possible de connaître le dessein de Dieu relatif à une époque tout en rejetant la congrégation porteuse de lumière. Le Christ s’exprimera de la même manière en déclarant : «vous êtes la lumière du monde» (Mat 5 :14).

Les prophéties s’inscrivaient toutes dans un dessein, et c’est à l’intérieur de la congrégation reconnue de l’époque qu’elles étaient révélées. Nous avons pour exemple, celles qui concernent Noé, puis le déluge, puis la volonté de Dieu pour Abraham, etc… Ensuite, l’Église s’est agrandie pour compter en son sein toute la nation d’Israël. Plus tard encore, lorsque la nouvelle alliance a été conclue, cette nouvelle nation comptait tous les fidèles disciples du Christ (1 Pi 2:9).

Malheureusement, avec le temps, le christianisme s’est dilué. D’une boisson pure et rafraîchissante qu’il était, il est devenu tiède et insipide. Aujourd’hui, beaucoup de chrétiens revendiquent (presque de droit divin) la qualité d’authentiques disciples du Christ. Mais dans ce cas, le christianisme tel qu’il est pratiqué par ces chrétiens doit être authentique, c’est à dire le même que celui qui a été enseigné il y a presque vingt siècles de cela.

 

Préliminaires

Je ne souhaite pas définir une institution religieuse en particulier.(Ce sera une des rares fois où l’auteur parle en son nom propre). J’ai de l’affection pour tous ceux qui souhaitent progresser et être encouragé, quelle que soit leur appartenance religieuse. Si je ne souhaite pas vous indiquer une direction précise, c’est parce que vous devez exercer votre discernement, et je vais vous y aider. Connaissant bien la nature humaine, je crois, vous serez heureux ici, et malheureux là bas. Ce site est diffusé dans le monde francophone et lu par des dizaines de milliers de personnes (entre 1500 et 2000 par semaine). Je ne peux pas m’engager sur ce qui se passe dans un endroit ou dans un autre. J’observe beaucoup, et il faut reconnaître qu’il y a beaucoup de faux bergers qui se remplissent le ventre, d’autres qui aiment le pouvoir, d’autres encore qui sont des manipulateurs. Parmi eux on trouve aussi des immatures, des malades psychologiques, des pédérastes, des faux prophètes, de la complaisance, des tyrans, et bien d’autres choses encore. Heureusement que l’on trouve encore des humains humbles qui sont de vrais bergers !

Actuellement, nous vivons une époque qui est semblable à celle des juges de l’ancien Israël. Chaque religion faisant selon « ce qui est droit à ses propres yeux » avec plus ou moins de pureté et d’impureté (Juges 17:6). Certains groupes religieux font fi de la Parole de Dieu et se montrent plus ou moins radicaux, excluant toutes façons de penser différentes de la leur, même si celle-ci est conforme à l’esprit du divin Créateur. C’est pourquoi, s’il plait à Dieu que ce site demeure des années, il vous apportera toujours plus d’éclaircissement pour affermir votre foi.

Pour revenir à notre identification de la véritable congrégation (l’auteur n’a pas dit vraie organisation, parce que le mot organisation n’est pas dans la Bible), il s’agit comme le précise le «Nouveau Testament» de la congrégation de ceux qui sont nés de nouveau (Act 9:31; Jean 21:15; Gal 1:13; Eph 1:22-23; 3:10; 1Tim 3:15; Eph 2:19; Heb 3:6). Parmi tous ceux qui se disent l’être, il y en a qui ne le sont pas, parce que l’on y trouve des fornicateurs, des voleurs, etc., alors que d’autres le sont vraiment mais peuvent être exploités par des manipulateurs, et d’autres encore qui s’efforcent de vous faire savourer la Parole de Dieu. Il ne faut pas être étonné, car il est écrit qu’il y aurait beaucoup d’imposteurs (2 Tim 4:3, Mat 24:5).

 

Alors comment vous aider ?

L’apôtre saint Paul éclaire un peu en nous disant que l’esprit de Dieu et l’esprit de la chair sont opposés (1 Cor 2 :14). Si Dieu approuve une Église, ne doit-il pas y apposer son sceau ? Mais quel est donc ce sceau si caractéristique ? Saint Jacques, quant à lui fait référence à la sagesse d’en haut et la sagesse d’en bas (Jac 3:15-17). Voyez la grande simplicité du christianisme primitif : amour agâpé, hospitalité, bienveillance, spiritualité, esprit d’évangélisation, esprit missionnaire, sont ses caractéristiques en plus de la connaissance exacte. Mais la connaissance intellectuelle passe après ces qualités, parce que si celle-ci existe mais que l’amour ne soit pas présent, c’est comme un morceau de métal qui fait du bruit, cela ne sert à rien ( 1 Cor 13:1). Au début, le christianisme a été organisé pour définir un modèle d’action, laissant ensuite la congrégation chrétienne progresser dans la maturité. (Précisons toutefois, que ce modèle existait déjà, puisqu’il était présent dans le judaïsme). Des missionnaires et des apôtres (au sens d’envoyés) parcouraient les congrégations pour les affermir, les guider et parfois les discipliner. Le Christ a fait en sorte que le collège initial des 12 apôtres, forme la congrégation ointe, puis celle-ci s’est exprimée dans toute sa plénitude. Saul de Tarse, a été formé dans la plénitude de l’esprit saint du Christ. D’un avorton qu’il était (il a eu une vision du Christ alors qu’il n’était pas né de nouveau, donc ni croyant, ni baptisé), il est devenu un homme à la stature de Christ, capable d’en former d’autres.

Alors si vous voyez dans votre Église ou votre congrégation l’esprit de la chair, l’esprit de domination (subtile parfois), un système organisé, soyez sur vos gardes. La congrégation chrétienne authentique doit manifester une douceur vraie, identique à celle du Christ. C’est à dire une grande affection, un profond attachement à autrui, jusqu’au sacrifice de soi, pour résumer : beaucoup d’abnégation. Bien entendu, tous les membres sont imparfaits, mais comme l’amour de Dieu agit librement, on peut voir les caractéristiques décrites ci-dessus. Mais si les œuvres charnelles demeurent, cette Église ou cette congrégation ne pourra qu’être rejetée par le Christ (Mat 7:21, Rev3 :16 ; Mat 13 :41).

Poursuivons. On doit trouver un grand respect mutuel où chacun s’honore, il n’y a donc pas de domination imposée. Les bergers ont de vraies aptitudes spirituelles, et ne sont pas nombreux à vouloir enseigner (Jacq 3:1), deux ou trois tout au plus, au-delà on a affaire à des gens qui aiment se chatouiller mutuellement les oreilles (2 Tim 4:3). Voyons quelques responsabilités de ces bergers qui sont des hommes capables, qui craignent Dieu, des hommes sûrs, qui haïssent le gain injuste (1tm3:3, Tt1:6, Ex 18 :21). Si le berger est marié mais sans enfant, alors il a formé des disciples. Car un enseignant doit être en mesure de conseiller une famille, il doit donc être un père de famille, que se soit au sens spirituel ou au sens littéral. S’il est célibataire, qu’il fasse d’abord ses preuves en formant des disciples (stables et murs) qu’il aura lui-même touché par son œuvre. Est-il connu pour son hospitalité et sa bienveillance, c’est bien. Il doit encore être : irréprochable, mari d'une seule femme, sobre, pondéré, courtois, hospitalier, apte à l'enseignement, ni buveur ni batailleur, mais bienveillant, ennemi des chicanes, détaché de l'argent, sachant bien gouverner leur propre maison et tenir leurs enfants dans la soumission d'une manière parfaitement digne (Bible de Jérusalem).

Soyez prudent s’il y a plusieurs enseignants, l’enseignant est d’abord quelqu’un qui écoute, nombreux sont ceux qui aiment parler. Beaucoup sont attachés à leur sermon ou à leur discours plutôt qu’à manifester une attention particulière et bienveillante.

Puisqu’un lien fraternel unit toute la congrégation, tous ses membres manifestent un attachement sincère les uns pour les autres, et il n’y a pas de racisme. Quand un conflit éclate, il ne prenne pas parti, ils sont politiquement et militairement neutre. Leurs armes sont des armes spirituelles de justice et de foi.

Une autre caractéristique de la vraie congrégation chrétienne est qu’elle ne sacrifie pas la justice sur l’autel de la paix. Qu’est ce que cela signifie ? Dans un certain nombre d’Églises, les affaires sales sont étouffées. Dans d’autres, tout est entouré de secret pour ne pas faire de remous. Pire, quand quelqu’un souffre de calomnie, on ne fait rien pour ne pas créer d’agitation. Il s’agit de lignes de conduite en opposition avec le christianisme authentique. Purifiez-vous enseignent les Écritures, et pour purifier, il faut laver, frotter, rincer puis sécher. Et cela se voit ! La réalité est ce qu’elle est ! Il y a des chrétiens qui se conduisent mal, avec amour il faut les aider à se repentir, sinon il faut ôter le levain. Le Christ lui même dévoile les activités secrètes des congrégations, il faut donc agir de même et blâmer les mystificateurs (Rev chapitres 1 à 3).

 

L'esprit de Dieu à l'oeuvre sur les membres de la vraie congrégation

Depuis la Pentecôte de l’an 33, la congrégation chrétienne est touchée par les prophéties, que se soit de près ou de loin. Reconnaître la Congrégation colonne et soutient de la vérité est essentiel (1 Tim 3 :15). La compréhension de La Prophétie peut nous échapper, si nous ne parvenons pas à identifier la vraie congrégation de Dieu. Mais à qui le Grand Créateur peut-il accorder son esprit ? A ceux qui s’éloignent de lui et le dénigrent ? Non bien sûr ! A ceux qui, comme Paul, ont reçu son esprit (1 Cor 2:12). Prenons un exemple, si vous le voulez bien.

Nous sommes en l’an 33, un eunuque éthiopien, fonctionnaire de cour, lit une portion du texte d’Isaïe : «Comme une brebis il a été mené à l’abattage, comme un agneau qui est sans voix devant celui qui le tond, il n’ouvre pas la bouche. Durant son humiliation, le jugement lui a été enlevé. Qui dira les détails de sa génération? Car sa vie est enlevée de la terre» (Ac8:32-33). Philippe s’approche de lui et lui demande s’il comprend ce qu’il lit. Hormis un disciple chrétien, qui à cette époque, pouvait expliquer ce texte ? Sans aucun doute … personne !

Que nous apprend l’exemple de l’eunuque éthiopien ? Parmi la multitude de croyants (pharisiens, sadducéens, zélotes, esséniens, etc…), y avait-il qu’une seule congrégation colonne et soutient de la vérité ?

 

NEUVIÈME CLÉ

 

Reconnaître La Congrégation colonne et soutient de la vérité.

 

 

 

Les deux témoins de Révélation chapitre 11.

Nous lisons : «je ferai que mes deux témoins prophétisent pendant mille deux cent soixante jours, vêtus de toiles de sac » (Rev 11 :3).essayez de comprendre les deux témoins de révélation. Comment les identifier?
Pouvez-vous déterminer les autres clés?