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A
partir de ce qui nous est invisible, probablement ce que certains savants
appellent
l'énergie quantique, Yahwah
(héb: Yehwah,
c'est le Nom de Dieu que l'on rencontre près de 7000 fois)
a créé un univers visible. La majesté, la splendeur, la
sérénité et l'ordre mathématique qui y règnent constituent le signe ou le
paraphe de ce Grand Architecte. Pourquoi n'aurait-il pas pu aussi créer un livre qui possède Son sceau et qui
soit le Livre des livres? Quelque chose de complémentaire au «Livre de la nature» que des milliers de savants
lisent depuis des siècles, et dont ils explorent la
profonde sagesse avec timidité mais avec succès; par exemple en copiant les
formules chimiques des plantes pour les reproduire et élaborer des médicaments.
Les fabrications humaines qui miment les nombreux ouvrages de la Création,
révèlent l'intelligence cachée et la supériorité intrinsèque de la nature
qui constituent la signature de l'Architecte de l'univers. Cette connaissance aiguise
notre esprit, instruit notre mental, nous fait vivre des émotions. Telle était
semble-t-il la volonté de notre Instructeur.
Par conséquent, la question n'est sûrement pas de savoir s'il lui est possible
de produire un tel livre, mais plutôt de savoir pourquoi, et dans quel dessein,
Dieu aurait été disposé à le rédiger. Mais une oeuvre intemporelle, dont
Dieu serait le peintre ne serait-elle pas inaccessible aux créatures de
poussières que nous sommes?
Tout comme il existe un livre qui satisfait l'homme charnel et son mental, on peut se demander
si Dieu a écrit un livre qui nourrirait l'homme intérieur qui est spirituel?
Le Créateur ne
pourrait-il pas en réaliser un qui soit supérieur au meilleur des livres produits
par l'homme, un ouvrage suprême, qui transcende l'homme, et qui à l'image de
l'Invisible soit la nourriture de l'esprit et de la conscience. Un texte qui
puisse être lu par tous, quelque chose qui soit simple à utiliser, comme ce
qui est présent dans la nature, mais également très profond quant à sa
sagesse. Sa lecture fournirait les réponses exactes à nos questions,
satisferait notre capacité mentale de compréhension, et ne laisserait pas
insatisfaits ceux d'entre nous qui veulent le connaître personnellement pour l'adorer et le
servir.
Serait-il sensé de penser que Dieu, qui a fourni ce qui est nécessaire à sa
création pour se nourrir et vivre avec plaisir, ne puisse pas faire la même
chose eu égard la nourriture de l'esprit. Ce Grand Architecte n'a t-il pas
implanté en l'être humain la capacité de manifester de la tendresse, de
l'affection et de l'amour. Si ces qualités sont en nous n'est-ce pas parce que
lui aussi les possède, car on ne peut pas donner ce que l'on ne possède pas
soi-même.
S'il est possible de répondre que c'est par amour que Dieu a bien
voulu se faire connaître à nous, par rapport à lui ne sommes nous pas
inintelligents pour connaître le bord de ses voies? Puisque notre Auteur a
rendu accessible les biens de sa création pour que nous éprouvions de la
satisfaction et de la joie, n'est-il pas raisonnable de penser qu'il fasse que
sa Parole écrite soit également accessible? Mais comment Dieu allait-il agir
pour que Son livre puisse être compréhensible et posséder sa signature?
En effet le langage de Dieu,
tout comme celui des anges, est de très loin inaccessible à l'homme. C'est la
raison pour laquelle le Tout Puissant a inspiré des hommes pour qu'ils
rédigent en langue humaine, et par conséquent accessible, son dessein divin. Ce mot
"inspiré" du grec
théopneustos signifie littéralement «
soufflé par Dieu », c'est à dire qu'il envoya sur les rédacteurs sa force active
invisible (le mot inspiré est d'origine latine et signifie soufflé en dedans.
En ce qui nous concerne, cela décrit bien la force invisible de Dieu au dedans
de l'homme qui pousse vers l'extérieur).
Mais comment ce
livre allait-il se démarquer par sa supériorité sur les autres ouvrages
littéraires, car il faut reconnaître qu'aujourd'hui le nombres de livres dit
religieux est important, à tel point qu'il règne une belle confusion (Actes
19:32). Pour
répondre à cette question on peut considérer comment une ménagère fait la
distinction entre des fleurs en soie, parfaite imitation de la réalité, et des
fleurs naturelles. Elle s'en approche suffisamment près, peut-être même
qu'elle les touche. De la même manière, cette invitation est lancée par le
livre qui dit avoir Yahwah pour auteur :
"Que toutes les nations se
rassemblent en un même lieu, et que les communautés nationales se réunissent.
Qui parmi elles peut révéler cela ? Ou peuvent-elles nous faire entendre les
premières choses ? Qu’elles produisent leurs témoins, afin d’être
déclarées justes, ou qu’elles entendent et disent : ‘ C’est la vérité
! ’(Isaie 43:9).
Ces paroles : "Qui parmi elles peut révéler cela?" dénotent que
la vrai prophétie (qui annonce sans aucune erreur les événements à venir) est un élément majeur pour discerner entre Le Livre Sacré et les
copies. En effet, à part Dieu, qui peut annoncer avec précisions, et sans
conjectures, l'avenir que l'être humain est amené à découvrir? Qui peut
informer et instruire sans mythe? Qui peut discerner les événements pour
éclairer et illuminer afin que l'homme marche sans crainte? Cependant ne
faut-il pas s'approcher suffisamment du Livre de Dieu pour être enseigné puis
en discuter? N'est-ce pas cette invitation qui est lancée à tous lorsque nous
lisons "que les communautés nationales se réunissent"? C'est la raison des pages qui vont
suivre.
Si, avant de l'accepter,
certains veulent avoir la preuve de l'authenticité de la Bible, quelques recherches
ont été réalisées à leur intention sur ce site, mais elles ne constituent
qu'un fragment et ne pensez pas qu'il s'agit là de toutes les preuves qui sont
à notre disposition, car il y en a encore beaucoup.
Note : Les Dix
Commandements
Dieu produisit directement une partie de ce Livre sacré,
sans que l'esprit ou la main de l'homme soient intervenus. Il s'agit des Dix
Commandements. Toute la nation israélite entendit clairement ces commandements
prononcés par des moyens divins du sommet du mont Sinaï. Dieu les donna alors
sous forme écrite. Nous lisons à ce sujet: « Lorsque Yahwah eut achevé de
parler à Moïse sur la montagne de Sinaï, il lui donna les deux tables du
témoignage, tables de pierre, écrites du doigt de Dieu». Les Israélites
ayant été idolâtres, Moïse indigné brisa les tables de pierre, et dut
alors s'en procurer deux autres. Moïse nous dit: «Yahwah (nom
divin en langue arabe) me dit: taille-toi deux tables de pierre, comme les premières, et
monte vers moi sur la montagne; tu feras aussi une arche de bois. J'écrirai sur
ces tables les paroles qui étaient sur les premières tables, que tu as
brisées, et tu les mettras dans l'arche. Je fis une arche de bois d'acacia et,
ayant taillé deux tables de pierre comme les premières, je montai sur la
montagne, les deux tables dans ma main. Il écrivit sur ces tables ce qui avait
été écrit sur les premières, les dix paroles que Yahwah vous avait dites
sur la montagne, du milieu du feu, le jour de l'assemblée; et Yahwah me les
donna. Je me tournai et, étant descendu de la montagne, je mis les tables dans
l'arche que j'avais faite, et elles y sont restées, comme Yahwah me l'avait
ordonné» (Deut. 10. 1-5; Ex. 34: 1). Sans aucun doute, Moise fit
une copie des Dix commandements écrits sur les tables qu'il déposa dans
l'arche. La copie de Moïse et quelques autres pouvaient être comparées aux
tables contenues dans l'arche, afin que l'exactitude et la correction des copies
fussent prouvées.
Remarque
: L'auteur connaît certaines critiques faites par les athées. Elles seront
abordées dans le futur.
Note : mot "inspiré
Ce mot "inspiré"
du grec théo pneustos signifie littéralement «soufflé par Dieu», c'est à dire qu'il envoya sur les rédacteurs sa force active invisible. Un de ces
rédacteurs, l'apôtre Jean, nous dit que Jésus, apparu à un groupe de ses
fidèles apôtres le jour de sa résurrection, les envoya en mission: «Après
ces paroles, il souffla sur eux, et leur dit: Recevez le saint esprit» (Jean
20: 21, 22). Lorsque Jésus souffla sur eux, son souffle était une force
invisible. De même, nous ne pouvons voir le saint esprit ou force active de
Dieu, et pour en parler, les écrivains hébreux utilisent les mots nechama,
rouh, tandis que les écrivains grecs se servent du mot pneuma, ces trois mots
signifiant vent ou souffle. On peut donc dire d'une chose produite par
l'exercice de la force active et invisible de Dieu, qu'elle est soufflée par
Dieu ou divinement inspirée. En fait, le mot inspiré, d'origine latine,
signifie soufflé en dedans, et dénote une force invisible.
Au jour de la Pentecôte, en l'an 33 de notre ère, l'esprit
saint (ou force active) de Dieu descendit sur les fidèles disciples de Christ,
d'une façon invisible, mais accompagné d'un bruit audible semblable au
rugissement d'un vent puissant ainsi que d'un signe visible et extérieur
semblable à, des langues de feu se séparant au-dessus de la tête de chaque
disciple rempli de l'esprit. (Actes 2: 1-4) Ce bruit identique à celui d'une
rafale (pnoé) montrait que l'esprit (ou force active) de Dieu avait été
soufflé sur les disciples. « Et ils furent tous remplis du saint esprit, et se
mirent à parler en d'autres langues, selon que l'esprit leur donnait de
s'exprimer».